Et, au cas où on retrouve l'oeuvre copiée quand même ailleurs, il faut écrire au webmaster, demander poliment de l'enlever, puis menacer, gueuler, etc...

Alors, que tous ceux qui ont ouvert un accès à internet ont coché la case signifiant qu'ils acceptaient la Charte de leur fournisseur d'accès, dans laquelle ils s'engagent entre autres à respecter le droit d'auteur ou le droit à la propriété intellectuelle.

Je suis également l'un des webmasters du site des Frappadingues et je ne sais plus combien de fois nous avons dû réclamer auprès d'indélicats qui utilisaient notre logo, dessiné spécialement pour nous par un ami graphiste. La plupart étaient surpris de notre demande ou feignaient de l'être. Ce n'est pas parce qu'on diffuse quelque chose sur un espace, fût-il public, qu'il est autorisé de se l'approprier !

C'est comme quand vous laissez votre voiture dans la rue, même avec les portes verrouillées, avec l'autoradio dedans. Si vous vous faites fracturer la vitre et piquer le poste, beaucoup, la police en premier, vont vous dire qu'il ne fallait pas laiser une telle tentation, que vous l'avez bien cherché, que c'est limite votre faute !!! Nom d'un #%£$¤@, il s'agit bien d'un vol, non ? Juste comme ça au passage, au Canada, on peut laisser sa voiture et sa maison ouverts en permanence sans craindre de vols...

Alors faut-il piéger sa propriété ?

Tiens, le premier que je prends à s'approprier mes textes sans mon autorisation (que je peux donner si on cite nom nom, mon blog et qu'on me le demande gentiment), son ordinateur verra son disque dur se désagréger et partir en fumée. Niark, niark...